Marcia Vega
Olympians
Icône :
Marcia Vega
Messages :
Marcia Vega10
Surnom :
Marcia VegaLa Vamp'
Age :
Marcia Vega35 ans
localisation :
Marcia VegaOlympus
Métier :
Marcia VegaCEO Connect Inc.
Karma :
Marcia Vega9810
Bio :
Marcia Vega- Enfant doré d'Olympus
- Prédatrice intraspécifique
- CEO Connect Inc.
- Directrice de la rédaction de NBN, LA chaîne d'information en continu.
- Prédatrice intraspécifique
- CEO Connect Inc.
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Marcia Vega
Icône :
Marcia Vega
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Marcia Vega10
Surnom :
Marcia VegaLa Vamp'
Age :
Marcia Vega35 ans
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Marcia VegaOlympus
Métier :
Marcia VegaCEO Connect Inc.
Karma :
Marcia Vega9810
Bio :
Marcia Vega- Enfant doré d'Olympus
- Prédatrice intraspécifique
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- Prédatrice intraspécifique
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Ce soir Marcia est en fête. Le petit dort sous bonne garde de son AP et le claustra mobile qui mène au garage coulisse gentiment derrière elle. Vêtue d’un pardessus doré au col martial, elle gagne le cockpit de son hover. Elle y bondit comme une chatte, rieuse. De son index senestre, puisqu’elle est gauchère, elle lève les jolis loquets chromés qui garnissent le tableau de bord. Le portail du box se soulève rapidement et le bolide démarre. Le sourire de madame s’étire et son regard s’intensifie. Et le moteur vrombit. Et l’engin s’arrache de la villa olympian, dévorant de l’altitude à une vitesse vertigineuse. Marcia se rit du vent qui se jette à son visage avant que la cabine ne se referme hermétiquement.
Vieil enfant modèle, Marcia ralentit l’allure une fois engagée dans la flyway. Ici tout le monde sait qui conduit cet engin, ici il s’agit de se montrer au diapason de son Karma. Alors elle se mord la lèvre inférieure et se concentre sur la musique électrodisco qui ambiance le cockpit à fond de basses. Quelques minutes plus tard, elle franchit la première ceinture. Dans ce sens, aucun check-point et elle s’engouffre dans Féli-City pied au plancher. Marcia bascule un loquet et le cockpit s’habille d’une lumière rouge, intensifiant la sensation de vitesse. Son menton plonge et sa prise sur le volant s’affermit. Et le moteur prend des tours, et le sportster de luxe double tous les hovers qui se présentent devant lui. La circulation a pris un cran et toutes ces quilles à slalomer excitent Marcia Vega. L’œil électrisé, elle file entre les bourgies à une vitesse folle, cap à sud-ouest.
Elle franchit l’Anneau et se rapproche de la ville-basse. Un peu avant la chute de niveau, le hover jaune vire sur son aile gauche et plonge dans un quartier de bordure. Son regard affûté a repéré une place de parking et Marcia fond dessus. Elle y loge son engin avec maestria, effrayant trois piétons qui passent là. La Vega s’observe une seconde dans le rétro, passe une main dans ses cheveux et se satisfait de son reflet. Alors elle jaillit du cockpit, ses semelles chaudes prenant contact avec le froid béton. Longue, ravissante et souriante, Marcia remonte son col large et prend la direction de la terrasse où ses amis sont réunis. Lorsqu’ils l’aperçoivent, c’est un « MARCY ! » en cœur. Marcy sourit large, affichant ses belles dents blanches et son écrasant score de Karma. Son regard luisant d’intelligence vient s’attendrir sur le visage de son frère cadet, Diolando. Il est accompagné de sa nouvelle conquête, cette fois masculine. Elle s’assoit à la table. Béthy, nouvelle entrante dans la catégorie quadragénaire, lâche son enthousiasme. « Oh mon cœur, qu’il est beau ce pardessus. Fais toucher ! » Marcy se tourne vers elle et sa langue passe entre ses dents, rose et aguichante. Le Wyldside et son carré VIP les attend.
Il est tard et l’atmosphère est chargée. Le mot « fire » résonne entre toutes les tempes, scandé par la voix féminine qui rythme un morceau électro sur lequel tout le monde danse. A cette heure, le Wyldside est plein a craqué, toutes et tous sont ivres d’eux-même, beaux, sélectionnés. Au milieu, solaire, parfaitement convaincue d’être incroyable, Marcia Vega bouge, animal inaccessible. Moulée dans sa combinaison furieusement échancrée, sa féline silhouette ondoie avec élégance et les regards sont magnétisés. Le visage de cette femme capte la lumière d’une façon indescriptible. La sincérité qu’elle met dans ses gestes, son sourire, la joie qui vibre à travers toute sa personne. Le dancefloor est subjugué. Celles et ceux qui l’effleurent dansent autant à son rythme qu’à celui de la musique.
Diolando observe sa sœur depuis le carré. Son compagnon lui bouffe le cou mais lui ne regarde que Marcia. Ses paupières sont lourdes. Une autre ivresse l’habite. Alors la musique marque une transition, une ritournelle aérienne. Marcia s’est figée, le corps en attente, la jambe droite seule ondoie et imprime à sa silhouette une légère rythmique. Son menton plonge lentement. Et à travers cent formes dansantes, ses pupilles s’arriment au regard iceberg de Diolando. Et même si leur vision est cent fois entravées à un rythme lancinant, leurs âmes se voient sans discontinuité, intensément.
Reprise ! Les basses sont à nouveau lâchées et dévalent toutes puissantes sur les plateformes. Marcia Vega sourit à son frère. Elle clôt finalement les paupières et lui tourne le dos. Elle se laisse faire, emportée par le son, n’obéissant plus qu’aux impulsions de son cœur infatigable.
Vieil enfant modèle, Marcia ralentit l’allure une fois engagée dans la flyway. Ici tout le monde sait qui conduit cet engin, ici il s’agit de se montrer au diapason de son Karma. Alors elle se mord la lèvre inférieure et se concentre sur la musique électrodisco qui ambiance le cockpit à fond de basses. Quelques minutes plus tard, elle franchit la première ceinture. Dans ce sens, aucun check-point et elle s’engouffre dans Féli-City pied au plancher. Marcia bascule un loquet et le cockpit s’habille d’une lumière rouge, intensifiant la sensation de vitesse. Son menton plonge et sa prise sur le volant s’affermit. Et le moteur prend des tours, et le sportster de luxe double tous les hovers qui se présentent devant lui. La circulation a pris un cran et toutes ces quilles à slalomer excitent Marcia Vega. L’œil électrisé, elle file entre les bourgies à une vitesse folle, cap à sud-ouest.
Elle franchit l’Anneau et se rapproche de la ville-basse. Un peu avant la chute de niveau, le hover jaune vire sur son aile gauche et plonge dans un quartier de bordure. Son regard affûté a repéré une place de parking et Marcia fond dessus. Elle y loge son engin avec maestria, effrayant trois piétons qui passent là. La Vega s’observe une seconde dans le rétro, passe une main dans ses cheveux et se satisfait de son reflet. Alors elle jaillit du cockpit, ses semelles chaudes prenant contact avec le froid béton. Longue, ravissante et souriante, Marcia remonte son col large et prend la direction de la terrasse où ses amis sont réunis. Lorsqu’ils l’aperçoivent, c’est un « MARCY ! » en cœur. Marcy sourit large, affichant ses belles dents blanches et son écrasant score de Karma. Son regard luisant d’intelligence vient s’attendrir sur le visage de son frère cadet, Diolando. Il est accompagné de sa nouvelle conquête, cette fois masculine. Elle s’assoit à la table. Béthy, nouvelle entrante dans la catégorie quadragénaire, lâche son enthousiasme. « Oh mon cœur, qu’il est beau ce pardessus. Fais toucher ! » Marcy se tourne vers elle et sa langue passe entre ses dents, rose et aguichante. Le Wyldside et son carré VIP les attend.
Il est tard et l’atmosphère est chargée. Le mot « fire » résonne entre toutes les tempes, scandé par la voix féminine qui rythme un morceau électro sur lequel tout le monde danse. A cette heure, le Wyldside est plein a craqué, toutes et tous sont ivres d’eux-même, beaux, sélectionnés. Au milieu, solaire, parfaitement convaincue d’être incroyable, Marcia Vega bouge, animal inaccessible. Moulée dans sa combinaison furieusement échancrée, sa féline silhouette ondoie avec élégance et les regards sont magnétisés. Le visage de cette femme capte la lumière d’une façon indescriptible. La sincérité qu’elle met dans ses gestes, son sourire, la joie qui vibre à travers toute sa personne. Le dancefloor est subjugué. Celles et ceux qui l’effleurent dansent autant à son rythme qu’à celui de la musique.
Diolando observe sa sœur depuis le carré. Son compagnon lui bouffe le cou mais lui ne regarde que Marcia. Ses paupières sont lourdes. Une autre ivresse l’habite. Alors la musique marque une transition, une ritournelle aérienne. Marcia s’est figée, le corps en attente, la jambe droite seule ondoie et imprime à sa silhouette une légère rythmique. Son menton plonge lentement. Et à travers cent formes dansantes, ses pupilles s’arriment au regard iceberg de Diolando. Et même si leur vision est cent fois entravées à un rythme lancinant, leurs âmes se voient sans discontinuité, intensément.
Reprise ! Les basses sont à nouveau lâchées et dévalent toutes puissantes sur les plateformes. Marcia Vega sourit à son frère. Elle clôt finalement les paupières et lui tourne le dos. Elle se laisse faire, emportée par le son, n’obéissant plus qu’aux impulsions de son cœur infatigable.
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